Des mots venus de la nuit
Sur le tard, faut pas trop écouter Deezer en tapotant le Z’ipad sans retenues, ni retouches, en fumant la pipe d’avant presque dodo. — François Vernhes la chance de savoir, de se souvenir des chemins parcourus des ombres , des lumières. Il y’eu des temps d’enfance , temps de grisailles qui firent de l’enfant dés le commencement un adulte lucide . Terrible de voir les gens dans leurs plénitudes, leurs angoisses teintées de si peu de joie. Le sac était douleur qu’a le faire, le lundi matin, il claquait les portes pour réveiller vainement celle qui le porta pourtant . À l’internat, y’avait des larmes sur la dictée qui commençait la semaine. Perdu dans la blouse grise la tristesse était là , l’indifférence aux autres permit de trouver autre chose le rêve et dire qu’il avait bien raison de dire non au maître et d’essayer de trouver un chant d’oiseau. Le temps passant, rosa, rosam donna un peu le goût , les épines étaient dans les thèmes, la rose dans la version. Puis, petit ado aimé par